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Ses œuvres ont notamment été présentées aux Ateliers Belleville (2018, Montréal), à la Galerie AVE (2020, Montréal), à l’Espace Transmission (2020, Montréal), à La Maison des artistes visuels francophones (2023, Winnipeg), à la Galerie d’art Louise-et-Reuben-Cohen (2023, Moncton) ainsi qu’à la Galerie de l’UQAM (2023, Montréal).
S’inscrivant du côté des philosophies du vivant, des études féministes et décoloniales, Mimi Haddam s’intéresse aux pensées tactiles, touchées et touchantes, aux réflexions affectives dévalorisées au profit des normes discursives tenues par les institutions dominantes du pouvoir, aux imaginaires somatiques ainsi qu’aux identités ambiguës. Ses projets, en quête de mouvements sensibles, investissent les espaces incertains et sans formes étanches.
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Je reconnais que mon travail à Tiohtià:ke/Montréal se déroule sur les terres autochtones non cédées de la nation Kanien’kehá: ka/Mohawk. Kanien’kehá: ka est connu comme un lieu de rassemblement pour de nombreuses Premières Nations et je reconnais les Kanien’kehá: ka comme les gardiens des terres et des eaux sur lesquelles je travaille aujourd'hui.